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Florent Lebon

Docteur ès STAPS - Neurosciences cognitives et comportementales

Florent Lebon
41 ans
Permis de conduire
Villeurbanne (69100) France
Situation professionnelle
En poste
Ouvert aux opportunités
Présentation
Issu d'une formation STAPS, mes centres d'intérêt s'orientent principalement sur la thématique de l'imagerie motrice dans un contexte de développement des capacités motrices et de rééducation après blessures centrales et périphériques.
Dans un contexte plus large, mes recherches se trouvent à la croisée des neurosciences comportementales et cognitives et de la psychophysiologie.
  • Membre de l'équipe de Neurologie (Dir. Pr Alan Barber), Département de Médecine, Université d'Auckland
  • Membre du laboratoire de Neuroscience du Mouvement (Dir. Pr Winston Byblow), Faculté des Sciences du Sport, Université d'Auckland
  • Chargé de cours, Faculté des Sciences du Sport, Université d'Auckland
  • Membre associé du Laboratoire de la Performance Motrice, Mentale et du Matériel (Dir. Pr Christian Collet) - Centre de Recherche et de l'Innovation sur le Sport (EA647, Dir. Pr Thierry Terret) - Université Lyon 1 - Lyon
Détails de l'expérience
  • Projet de recherche sous la direction de Cathy Stinear (PhD) et de Winston Byblow (Pr)
  • Financement de 32 500 € de la Fondation FYSSEN (194, rue de Rivoli, 75001 PARIS)
  • L’objectif principal de ce projet de recherche mené à l’Université d’Auckland est d’évaluer la facilitation des réseaux corticomoteurs, i.e. liaisons cerveau-muscles, et des mécanismes inhibiteurs intra-corticaux sous jacents de l’imagerie motrice. Pour comprendre ces processus cognitifs, les participants ont été distingués selon leur habileté à imaginer un mouvement simple. Les ‘bons’ et ‘mauvais’ imageurs ont ainsi été comparés afin de tester si le recrutement des réseaux corticomoteurs était différent d’une population à une autre. Les premiers résultats montrent que les bons imageurs activeraient spécifiquement la région corticale motrice contrôlant le muscle impliqué dans la tâche mentale comparativement aux mauvais imageurs. De plus, cette activation neuronale serait plus importante au moment d’imaginer le mouvement chez les bons imageurs tandis que cette modulation temporelle ne serait pas effective chez les mauvais imageurs. La qualité d’imagerie aurait donc un rôle prépondérant dans la modulation spécifique des réseaux corticomoteurs. Dans le cadre de la rééducation motrice après accident au niveau central ou blessure au niveau périphérique, la capacité d’imagerie pourrait donc être un facteur influençant le processus de guérison par une facilitation spécifique des réseaux neuronaux.
  • Enseignements en Neurosciences (4h) - Master 1 Recherche - Compréhension et présentation orale d’un article scientifique